Cette note économique tire les leçons des émissions d'obligations de la diaspora les plus médiatisées dans le monde - celles d'Israël, de l'Inde et de l'Éthiopie dans le but d'explorer leur applicabilité au contexte africain. Il vise à fournir un aperçu aux émetteurs africains potentiels sur les aspects à considérer avant l'émission. Cette note économique conclut que les obligations de la diaspora sont un vecteur important de collecte de fonds, mais que les facteurs essentiels à leur succès en Afrique sont à la fois des facteurs souples et difficiles: un marketing intensif basé sur des données désagrégées sur la diaspora et une amélioration du crédit pour attirer les investisseurs et réduire la perception du risque. À cet égard, les institutions de financement du développement telles que la Banque africaine de développement ont un rôle essentiel à jouer en fournissant des données statistiques, des services consultatifs et des instruments financiers d'atténuation des risques pour aider les pays africains à réaliser leurs aspirations à émettre.
- Bénin
- Botswana
- Burkina Faso
- Burundi
- Cameroun
- Cap-Vert
- Comores
- Congo
- Côte d'Ivoire
- Dans Swat
- Djibouti
- Egypte
- Gabon
- Ghana
- Guinée
- Guinée Bissau
- Kenya
- les Seychelles
- Lesotho
- Malawi
- Mali
- Maroc
- Maurice
- Mauritanie
- Mozambique
- Namibie
- Nigeria
- Ouganda
- République Démocratique du Congo
- Rwanda
- Sénégal
- Sierra Leone
- Soudan du sud
- Tanzanie
- The Gambia
- Togo
- Tunisie
- Zambie